Nous voici de retour pour notre 4ème match de la saison.
C’est une visite chez nos voisins de la banlieue tourangelle (La Membrolle sur Choisille) qui était au menu de la première rencontre de l’année.
Notre pitaine fait office de chauffeur et nous emmène nous rassasier dans une cafétéria proche du lieu de rencontre.
Une fois les estomacs remplis, direction la salle de jeu. A la divulgation des compositions d’équipes, nous partons clairement avec un avantage sur 7 des 8 tables.
Les données sont très simples après nos résultats précédents… défaite interdite !
Lucas Lamouroux (1812) – Maxime T (1918)
Face à un adversaire habitué à participer à notre Open Serge Dimier, Max part avec les faveurs des pronostics. Sa partie s’engage plutôt bien avec le gain d’un pion dans l’ouverture. Par contre il doit essuyer une activité adverse qui pourrait être désagréable.
Sa position se stabilise et il en profite pour encaisser un deuxième pion. Son adversaire tente son « va-tout » et sacrifie un Fou puis une Tour sur son Roque pour finalement forcer un perpétuel !
Temps de jeu : 3h
Résultat : ½
Score : 0-0
Olivier Arène (1929) – David Hakimi (1918)
C’est la seule table avec un léger avantage pour nos adversaires.
Dans une ouverture un peu fantasque, les pièces s’échangent très rapidement et ils s’expliquent dans une finale de T+F contre T+C.
A ce petit jeu-là, c’est David qui s’en sort le mieux et contraint son adversaire à l’abandon.
Nous prenons l’avantage au tableau d’affichage.
Temps de jeu : 3h25
Résultat : 1-0
Score : 1-0
Mathieu Leroi (1923) - Nolwenn P (2025)
Face à un jeune adversaire en pleine progression, Nolwenn a dû s’employer.
Après avoir laissé passer un semblant d’orage, il a pris la mesure de son adversaire, nous permettant d’accroître notre avance au score.
Temps de jeu : 3h30
Résultat : 1-0
Score : 2-0
Nicolas B (1949) – Yassir El Archi (1763)
Face à un adversaire offensif, Nico parvient à jouer de manière posée et solide.
Il prend rapidement un avantage positionnel et transpose dans une finale de Tours favorable.
Il finit par concrétiser son avantage après près de 4 heures de jeu.
Temps de jeu : 3h55
Résultat : 1-0
Score : 3-0
Thomas Bernard (1793) - Ronan B (1855)
Face à un adversaire de force quasi équivalente, Ronan ne parvient pas à trouver son rythme.
Il voit sa position se désagréger petit à petit sans parvenir à trouver de solutions.
Il concède une qualité dans l’espoir d’atténuer la pression adverse.
Mais son adversaire traite la finale de là meilleur des façons et le contraint à l’abandon.
Temps de jeu : 4h
Résultat : 1-0
Score : 3-1
David C (1864) - Benjamin Triboulet (1681)
Fidèle à ses habitudes, David se lance à l’abordage très rapidement.
Son adversaire ingurgite son pion et se contente de forcer le maximum d’échanges.
David tient à conserver un peu de pièces pour poursuivre ses assauts. Il rate le coche dans une position complexe et finit par donner une pièce sans la moindre compensation.
Il poursuit tout de même la partie, mais se rend vite compte que c’est sans espoir.
Temps de jeu : 4h05
Résultat : 1-0
Score : 3-2
Thierry B (1987) – Jounaid El Archi (1849)
Face à un jeune adversaire aux dents longues, notre capitaine se devait d’être sur ses gardes.
Souhaitant éviter d’entrer dans des lignes trop théoriques, il choisit une option quelque peu douteuse. Son adversaire en profite pour prendre un avantage positionnel.
Constatant l’évolution des parties, il se dit qu’un match nul serait une bonne opération pour l’équipe. Il lui propose une première répétition de position, aussitôt refusée sur l’échiquier…
Il faut admettre que la position est plutôt favorable à son adversaire.
Constatant que ses pièces étaient muselées, Thierry sacrifie un pion pour réactiver ses pièces.
En crise de temps, son adversaire n’hésite pas et l’ingurgite.
Et c’est à ce moment-là que notre cap’tain retrouve des couleurs et reprend le jeu à son compte pour finalement l’emporter, assurant définitivement la victoire de l’équipe !
Temps de jeu : 4h40
Résultat : 0-1
Score : 4-2
Benoit L (2061) – Bernard Kunzer (1923)
Face à un adversaire expérimenté, Benoit s’est retrouvé confronté à une ouverture familière « l’Estéban » (Pour les néophytes, il s’agit en fait de la Stonewall)
Prenant rapidement un avantage positionnel, il a su patienter et concrétiser la force de son bon Fou face à son homologue beaucoup moins fringuant.
Une fois le résultat de l’avant dernière table connu, il pouvait se relâcher et concrétiser ainsi sa position après un marathon de plus de 5h !
Temps de jeu : 5h15
Résultat : 1-0
Score final : 5-2
Grace à cette victoire nous nous relançons dans la course au maintien
A la découverte des autres résultats, nous sommes sûrs d’une seule chose…
Cela va être tendu jusqu’au bout !
Rendez-vous début février pour la prochaine rencontre en terre Mancelle.